Mairie Roinville

Historique de l'eglise Saint-Denis

L’église de Roinville est dédiée à Saint Denis, la nef, constitue l’église ancienne, avec le petit clocher. Le bâtiment primitif semble se situer côté nord de la nef, constitué d’un vaisseau dont la partie supérieure était visible pendant les travaux de restauration (2007-2009), inscrit dans un rectangle de 11m sur 4m. Il pourrait dater du XIe siècle. La nef, elle, semble remonter fin XIIe début XIIIe siècle.

Une étude dendrochronologique (datation par les cernes du bois) devrait confirmer la date à laquelle a été construite la charpente, dans le sens où le bois abattu était immédiatement utilisé, il était vert, ce qui facilitait beaucoup la coupe et qui évitait au montage de la charpente que celle-ci se fende.
Un écrit de 1081 signifie que Geofroi Ier, évêque de Chartres, concède à Ourson, prieur de Saint-Martin-des-Champs; l’autel de Roinville “altare de Rodanivilla“, du consentement de Guillaume, archidiacre de Goislin (Carta de Altare Roenville. VII – Bulletin de la Société Historique de Corbeil 1900). Rodanivilla, étymologiquement : domaine de Rodani, on trouve également Rodenvilla.

D’autre part, des “têtes grotesques”, typiques de l’époque, ornent encore deux piliers de la nef. A remarquer la faible hauteur des piliers, qui n’est qu’une apparence, en effet au moins trois niveaux de sols existent dont le plus ancien est environ à 1 mètre 30 sous celui actuel. Ce qui s’explique peut-être par la remontée progressive de la nappe phréatique au cours des temps !

Nous sommes au XVIe siècle à la période Renaissance, une époque faste pour les constructions, la “Fabrique” (notables de la ville, chargés des travaux et de l’entretien de l’église, en demandant une participation des habitants), décide d’agrandir l’église ou plus exactement de la reconstruire. On commence par le choeur et dans le but de démolir le petit clocher, on démarre la construction d’un grand clocher à l’angle nord-ouest. Le projet est, en menant ces deux opération de front, de réaliser la jonction entre le choeur et le grand clocher. Les deux arcs reliant la nef au choeur au niveau des piliers octogonaux ne sont que des constructions provisoires pour retenir la poussée latérale sur les piliers en attendant la construction du prolongement de la voûte et des deux piliers suivants. Le but à terme était de supprimer toute la nef et le petit clocher.

L’idée de ce qu’aurait pu être le projet entièrement réalisé se concrétise en allant voir l’église de Saint-Cyr sous Dourdan où s’est posée la même problématique.
Le chœur est ainsi construit dans le style gothique flamboyant de l’époque, avec de grandes ouvertures et des voûtes à liernes et tiercerons. Sur une clé de voûte, on peut encore lire, en abrégé, sancto dyonis (Saint Denis), qui montre que probablement, la dédicace à Saint Denis fut donnée à cette époque.

Malheureusement les travaux s’arrêtent (heureusement pour la conservation de la partie ancienne !), le grand clocher n’atteint environ que le quart de sa hauteur prévue, et la partie restante de la nef demeure, sans doute la Fabrique a-t-elle vu trop grand !

En 1556, sous le roi Henri II, a lieu à Dourdan une assemblée importante qui va siéger sur plusieurs jours, et dont l’ambition est d’élaborer les “Us et Coutumes” du comté de Dourdan, prélude du code civil, où sont représentés les nobles, le clergé et les représentants du peuple (dits les manants), pour chaque village. Les trois représentants de Roinville sont Philippe AmyotGuyllaume Allaire et André Cochery (Coustumes du Bailliage et Chastellenie de Dourdan 1559).

En récompense sans doute pour leur participation ils ont eu leur nom gravé sur la cloche fondue l’année suivante, en 1557. Le fait d’avoir monté une cloche neuve sur le petit clocher, indique bien l’abandon de la poursuite du grand projet d’agrandissement de l’église
Les parties supérieures des vitraux au dessus de l’autel sont du XVIe siècle et donc probablement exécutés au moment de la construction du choeur. Deux personnages inscrits dans des quadrilobes représentent peut être les deux diacres accompagnant saint Denis, Rustique et Eleuthère. Les grands vitraux, côté nord semblent être de la même époque
Au XVIIe siècle, on construit la sacristie accolée au petit clocher.

En 1632, la grande peste sévit et plus de 80 personnes décèdent à Roinville.
De grands travaux ont eu lieu en 1641, sur la demande de Messire Simon Barbier, prêtre curé de Roinville et des “gagers” (membres de la fabrique). Ceux-ci disent que depuis deux ans, Messire Simon Barbier, avait fait faire de leur avis et consentement, de grands ouvrages et réparations, tant par la nécessité que pour la décoration et qu’il avait fait faire le carrelage de carreaux tout neufs, comme aussi fait faire le Maître autel et les deux latéraux en 1641. Les habitants ont consenti, en 1656, d’autoriser le remboursement du curé sur les deniers de l’église. Le pavage actuel est plus récent puisqu’il ne laisse apparaître que deux pierres tombales, dont les inscriptions sont pratiquement illisibles. On peut néanmoins reconnaître quelques fragments :
ce jour de feste…ci gist…lundi….priez pour lui…Joanes…

Le 11 août 1719, un grand incendie détruit une bonne partie des maisons du bourg, 15 familles sont sinistrées, elles demandent au Régent (nous sommes à l’époque de la régence de Louis XV), la permission d’abattre 200 chênes dans la forêt de Dourdan, pour la reconstruction de leurs habitations. Mais si l’église est touchée, il y a peu de dégâts, car quelques jours après, les offices y sont célébrés.

A la Révolution Française, on crée les communes, il faut alors construire une mairie, on décide ainsi d’agrandir la “Tour” (nom donné à l’ébauche du grand clocher) et pour cela on lui adjoint un appentis, ce qui permet d’augmenter la surface et d’y réaliser une entrée, pour accéder à la mairie et à l’école, sur deux niveaux, trois fenêtres sont créées côté ouest et une côté sud, les baies intérieures sont alors bouchées. Le troisième niveau sert de logement de fonction. Ces divers étages sont desservis par le magnifique escalier à vis, de 51 marches, datant du XVIe siècle.

Les registres paroissiaux, commencent en l’an 1629, ils nous indiquent qu’une cinquantaine de personnes ont été inhumées à l’intérieur de l’église, les autres étaient enterrées dans le cimetière entourant l’église.

Ces inhumations ont cessé progressivement vers la fin du XVIIIe siècle pour cause d’insalubrité et les nouveaux cimetières ont été implantés en périphérie. Les premières inhumations à Roinville, dans le nouveau cimetière, datent de 1809.

En 1754, une assemblée d’habitants en présence du notaire royal du comté de Dourdan, Claude Mathieu Buffy et de Jean Jacques Métivet, prêtre curé accompagné des marguilliers (autre nom des gagers), décide de faire construire une barrière en bois, séparant le chœur de l’autel. Un appel d’offre est fait et aucun menuisier de Dourdan et de ses environs n’y répond. C’est donc à un menuisier du Plessis-Saint-Benoit, paroisse d’Authon, que la commande est adjugée.

Un tableau installé sur l’autel, peint en 1683, représente saint Denis (portant sa tête, selon la légende), en compagnie de ses deux diacres, Rustique et Eleuthère.

Un autre tableau, près de l’autel, représente la Vierge et l’enfant, de la fin du XVIIesiècle de l’école française de Lebrun. Enfin un troisième tableau, de l’école française de Pierre-Paul Prud’hon représente saint Denis se penchant vers un malade avec une allégorie de la Charité dans le ciel.

En 1901, la réfection de la toiture du chœur étant nécessaire, le Conseil municipal décide que la couverture serait en ardoises, remplaçant les tuiles existantes, pour raison financière.
Depuis le 21 décembre 1984, l’église Saint Denis est classée Monument Historique. En 1998, des travaux de première urgence sont entrepris, pour consolider les pierres des contreforts (côté nord), stabiliser la sacristie qui s’enfonçait légèrement et restaurer le petit clocher (charpente, toiture et abat-sons).

Travaux récents

Pour des raisons diverses (ouragan de décembre 1999 et problèmes administratifs), les travaux de restauration qui devaient suivre les travaux d’urgence en 1999, n’ont pu redémarrer qu’en 2007. Ils ont été divisés en trois tranches. Ces trois tranches ont été les suivantes :

Tranche ferme

  • Réfection de la charpente et de la couverture du chœur.

 

Tranche conditionnelle n°1

  • Démolition de l’appentis adossé à la face ouest du grand clocher.
  • Restauration des élévations nord et ouest du grand clocher.
  • Révision des charpentes et couverture du grand clocher.

 

Tranche conditionnelle n°2

  • Assainissement des élévations par drainage extérieur.
  • Décaissement et réaménagement du parvis, compris réfection du sol de porche.
  • Restauration des façades de la nef, du bas-côté, du chœur et de la façade est du grand clocher.
  • Démolition de la voûte de la nef.
  • Révision de la charpente et des couvertures de la nef et du bas-côté nord.
  • Réfection des couvertures divers ouvrages de maçonnerie en accompagnement des ouvrages de charpente et de couverture.
  • Restauration et création de vitraux.

La réalisation de ces 3 tranches s’est faite sur 18 mois.

Travaux futurs
Une étude est programmée pour les travaux de restauration de l’intérieur de l’église.
Les divers badigeons, sur les murs de la nef seront grattés minutieusement dans le but de mettre au jour des fresques éventuelles.
La polychromie de l’autel sera rétablie en retirant le badigeon qui la cache.
Des travaux de remplacement et de finition des charpentes de la nef seront effectués et celle-ci sera ensuite lambrissée, comme elle l’était à l’origine.
Un double vitrage des vitraux nord est envisagé pour atténuer le bruit du CD116.

L’église de Roinville est dédiée à Saint Denis, la nef, constitue l’église ancienne, avec le petit clocher. Le bâtiment primitif semble se situer côté nord de la nef, constitué d’un vaisseau dont la partie supérieure était visible pendant les travaux de restauration (2007-2009), inscrit dans un rectangle de 11m sur 4m. Il pourrait dater du XIe siècle. La nef, elle, semble remonter fin XIIe début XIIIe siècle.

Une étude dendrochronologique (datation par les cernes du bois) devrait confirmer la date à laquelle a été construite la charpente, dans le sens où le bois abattu était immédiatement utilisé, il était vert, ce qui facilitait beaucoup la coupe et qui évitait au montage de la charpente que celle-ci se fende.
Un écrit de 1081 signifie que Geofroi Ier, évêque de Chartres, concède à Ourson, prieur de Saint-Martin-des-Champs; l’autel de Roinville “altare de Rodanivilla“, du consentement de Guillaume, archidiacre de Goislin (Carta de Altare Roenville. VII – Bulletin de la Société Historique de Corbeil 1900). Rodanivilla, étymologiquement : domaine de Rodani, on trouve également Rodenvilla.

D’autre part, des “têtes grotesques”, typiques de l’époque, ornent encore deux piliers de la nef. A remarquer la faible hauteur des piliers, qui n’est qu’une apparence, en effet au moins trois niveaux de sols existent dont le plus ancien est environ à 1 mètre 30 sous celui actuel. Ce qui s’explique peut-être par la remontée progressive de la nappe phréatique au cours des temps !

Nous sommes au XVIe siècle à la période Renaissance, une époque faste pour les constructions, la “Fabrique” (notables de la ville, chargés des travaux et de l’entretien de l’église, en demandant une participation des habitants), décide d’agrandir l’église ou plus exactement de la reconstruire. On commence par le choeur et dans le but de démolir le petit clocher, on démarre la construction d’un grand clocher à l’angle nord-ouest. Le projet est, en menant ces deux opération de front, de réaliser la jonction entre le choeur et le grand clocher. Les deux arcs reliant la nef au choeur au niveau des piliers octogonaux ne sont que des constructions provisoires pour retenir la poussée latérale sur les piliers en attendant la construction du prolongement de la voûte et des deux piliers suivants. Le but à terme était de supprimer toute la nef et le petit clocher.

L’idée de ce qu’aurait pu être le projet entièrement réalisé se concrétise en allant voir l’église de Saint-Cyr sous Dourdan où s’est posée la même problématique.
Le chœur est ainsi construit dans le style gothique flamboyant de l’époque, avec de grandes ouvertures et des voûtes à liernes et tiercerons. Sur une clé de voûte, on peut encore lire, en abrégé, sancto dyonis (Saint Denis), qui montre que probablement, la dédicace à Saint Denis fut donnée à cette époque.

Malheureusement les travaux s’arrêtent (heureusement pour la conservation de la partie ancienne !), le grand clocher n’atteint environ que le quart de sa hauteur prévue, et la partie restante de la nef demeure, sans doute la Fabrique a-t-elle vu trop grand !

En 1556, sous le roi Henri II, a lieu à Dourdan une assemblée importante qui va siéger sur plusieurs jours, et dont l’ambition est d’élaborer les “Us et Coutumes” du comté de Dourdan, prélude du code civil, où sont représentés les nobles, le clergé et les représentants du peuple (dits les manants), pour chaque village. Les trois représentants de Roinville sont Philippe AmyotGuyllaume Allaire et André Cochery (Coustumes du Bailliage et Chastellenie de Dourdan 1559).

En récompense sans doute pour leur participation ils ont eu leur nom gravé sur la cloche fondue l’année suivante, en 1557. Le fait d’avoir monté une cloche neuve sur le petit clocher, indique bien l’abandon de la poursuite du grand projet d’agrandissement de l’église
Les parties supérieures des vitraux au dessus de l’autel sont du XVIe siècle et donc probablement exécutés au moment de la construction du choeur. Deux personnages inscrits dans des quadrilobes représentent peut être les deux diacres accompagnant saint Denis, Rustique et Eleuthère. Les grands vitraux, côté nord semblent être de la même époque
Au XVIIe siècle, on construit la sacristie accolée au petit clocher.

En 1632, la grande peste sévit et plus de 80 personnes décèdent à Roinville.
De grands travaux ont eu lieu en 1641, sur la demande de Messire Simon Barbier, prêtre curé de Roinville et des “gagers” (membres de la fabrique). Ceux-ci disent que depuis deux ans, Messire Simon Barbier, avait fait faire de leur avis et consentement, de grands ouvrages et réparations, tant par la nécessité que pour la décoration et qu’il avait fait faire le carrelage de carreaux tout neufs, comme aussi fait faire le Maître autel et les deux latéraux en 1641. Les habitants ont consenti, en 1656, d’autoriser le remboursement du curé sur les deniers de l’église. Le pavage actuel est plus récent puisqu’il ne laisse apparaître que deux pierres tombales, dont les inscriptions sont pratiquement illisibles. On peut néanmoins reconnaître quelques fragments :
ce jour de feste…ci gist…lundi….priez pour lui…Joanes…

Le 11 août 1719, un grand incendie détruit une bonne partie des maisons du bourg, 15 familles sont sinistrées, elles demandent au Régent (nous sommes à l’époque de la régence de Louis XV), la permission d’abattre 200 chênes dans la forêt de Dourdan, pour la reconstruction de leurs habitations. Mais si l’église est touchée, il y a peu de dégâts, car quelques jours après, les offices y sont célébrés.

A la Révolution Française, on crée les communes, il faut alors construire une mairie, on décide ainsi d’agrandir la “Tour” (nom donné à l’ébauche du grand clocher) et pour cela on lui adjoint un appentis, ce qui permet d’augmenter la surface et d’y réaliser une entrée, pour accéder à la mairie et à l’école, sur deux niveaux, trois fenêtres sont créées côté ouest et une côté sud, les baies intérieures sont alors bouchées. Le troisième niveau sert de logement de fonction. Ces divers étages sont desservis par le magnifique escalier à vis, de 51 marches, datant du XVIe siècle.

Les registres paroissiaux, commencent en l’an 1629, ils nous indiquent qu’une cinquantaine de personnes ont été inhumées à l’intérieur de l’église, les autres étaient enterrées dans le cimetière entourant l’église.

Ces inhumations ont cessé progressivement vers la fin du XVIIIe siècle pour cause d’insalubrité et les nouveaux cimetières ont été implantés en périphérie. Les premières inhumations à Roinville, dans le nouveau cimetière, datent de 1809.

En 1754, une assemblée d’habitants en présence du notaire royal du comté de Dourdan, Claude Mathieu Buffy et de Jean Jacques Métivet, prêtre curé accompagné des marguilliers (autre nom des gagers), décide de faire construire une barrière en bois, séparant le chœur de l’autel. Un appel d’offre est fait et aucun menuisier de Dourdan et de ses environs n’y répond. C’est donc à un menuisier du Plessis-Saint-Benoit, paroisse d’Authon, que la commande est adjugée.

Un tableau installé sur l’autel, peint en 1683, représente saint Denis (portant sa tête, selon la légende), en compagnie de ses deux diacres, Rustique et Eleuthère.

Un autre tableau, près de l’autel, représente la Vierge et l’enfant, de la fin du XVIIesiècle de l’école française de Lebrun. Enfin un troisième tableau, de l’école française de Pierre-Paul Prud’hon représente saint Denis se penchant vers un malade avec une allégorie de la Charité dans le ciel.

En 1901, la réfection de la toiture du chœur étant nécessaire, le Conseil municipal décide que la couverture serait en ardoises, remplaçant les tuiles existantes, pour raison financière.
Depuis le 21 décembre 1984, l’église Saint Denis est classée Monument Historique. En 1998, des travaux de première urgence sont entrepris, pour consolider les pierres des contreforts (côté nord), stabiliser la sacristie qui s’enfonçait légèrement et restaurer le petit clocher (charpente, toiture et abat-sons).

Travaux récents

Pour des raisons diverses (ouragan de décembre 1999 et problèmes administratifs), les travaux de restauration qui devaient suivre les travaux d’urgence en 1999, n’ont pu redémarrer qu’en 2007. Ils ont été divisés en trois tranches. Ces trois tranches ont été les suivantes :

Tranche ferme

  • Réfection de la charpente et de la couverture du chœur.

 

Tranche conditionnelle n°1

  • Démolition de l’appentis adossé à la face ouest du grand clocher.
  • Restauration des élévations nord et ouest du grand clocher.
  • Révision des charpentes et couverture du grand clocher.

 

Tranche conditionnelle n°2

  • Assainissement des élévations par drainage extérieur.
  • Décaissement et réaménagement du parvis, compris réfection du sol de porche.
  • Restauration des façades de la nef, du bas-côté, du chœur et de la façade est du grand clocher.
  • Démolition de la voûte de la nef.
  • Révision de la charpente et des couvertures de la nef et du bas-côté nord.
  • Réfection des couvertures divers ouvrages de maçonnerie en accompagnement des ouvrages de charpente et de couverture.
  • Restauration et création de vitraux.

La réalisation de ces 3 tranches s’est faite sur 18 mois.

Travaux futurs
Une étude est programmée pour les travaux de restauration de l’intérieur de l’église.
Les divers badigeons, sur les murs de la nef seront grattés minutieusement dans le but de mettre au jour des fresques éventuelles.
La polychromie de l’autel sera rétablie en retirant le badigeon qui la cache.
Des travaux de remplacement et de finition des charpentes de la nef seront effectués et celle-ci sera ensuite lambrissée, comme elle l’était à l’origine.
Un double vitrage des vitraux nord est envisagé pour atténuer le bruit du CD116.